Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Lorraine Dietrich B de 1924
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Une ancienne Lorraine Detrich type B, moteur de 3,6 Litre, année 1924, voiture décapotable, et de collection.
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Les « Lorraine » ont été engagées dans plusieurs courses automobiles, et ont gagné plusieurs trophées. 1924 - 24 Heures du Mans : L’équipage Stoffel-Brisson se classe 2ème tandis que celui de Courcelles-Rossignol prend la 3ème place...
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Histoire chronologique de l'ancienne marque automobile " Lorraine-Dietrich ", France 1897 et 1905 - 1941.
1871, l'entreprise est née des conséquences du traité de Francfort qui imposa l'annexion de l'Alsace-moselle par l'Empire allemand.
En 1905, la famille de Dietrich se retire de l'affaire, la Société de Lunéville se transforme en Société anonyme au capital de 5 millions de francs et n'a plus aucune attache avec ses premiers fondateurs, elle prend le nom de « SOCIETE LORRAINE des ANCIENS ETABLISSEMENTS de DIETRICH », plus connue sous l'appellation de Lorraine-Dietrich, son siège social se situe à Paris.
Elle adopte pour marque et emblème la croix de Lorraine, or sur fond bleu.
En 1906 et 1907, l'entreprise tente de s'imposer sur le marché européen en achetant la moitié du capital d'Isotta-Fraschini, et constitue le haut de la gamme des Lorraine.
En 1907, une seconde usine est créée, cette-fois en région parisienne, à Argenteuil, cette usine se spécialise dans la fabrication de voitures de tourisme.
L'usine de Lunéville se spécialise dans la production de matériel ferroviaire, mais aussi de véhicules lourds utilitaires et de voitures de course.
En 1907, une nouvelle société, la « Lorraine-Dietrich Limited », est constituée à Birmingham, en Grande-Bretagne, et acquiert les usines Ariel dans le but de construire le modèle Isotta-Fraschini, mais la crise de 1909 force la firme lorraine à revendre ses parts.
De 1909 et 1912, modèles Turcat-Méry, remplacés peu à peu, à partir de cette année-là, par de nouveaux types dus à un ingénieur de la maison, une 40 HP, puis une 14 HP et une 20 HP à partir de 1913.
1911, l'accord avec Turcat-Méry est rompu, Turcat et Méry voulant reprendre leur indépendance, l'entreprise va être dirigée à partir de cette date par Adrien et son frère Eugène.
En 1912, le capital de l'entreprise atteint les 6 millions de francs.
1914, la guerre amène la Lorraine-Dietrich à se tourner vers la fabrication de matériel militaire lourd camions, wagons, blindés auto-mitrailleuses, tandis que les usines d'Argenteuil étaient consacrées à la fabrication des moteurs d'avions.
1918, après la guerre, la division Lorraine construit des moteurs d'avion, notamment le Lorraine 12 Eb de 450 chevaux, monté en W, qui équipait le Potez 25 ou l'Oiseau blanc de Nungesser et Coli.
1929, le gouvernement forme la SGA, « Société Générale d’Aéronautique » en fusionnant plusieurs avionneurs autour de Lorraine-Dietrich, les frères Wertheimer et Félix Amiot, de même que les actionnaires, récupèrent des dividendes impressionnants.
1934, c’est la faillite, pour éviter le scandale politico-militaire, l’État autorise Amiot et Bloch à racheter l’entreprise à bas prix, Amiot et les frères Wertheimer la rachètent pour une bouchée de pain.
En 1934, l'usine d'Argenteuil produit des camions sous la licence des camions Tatra.
En 1935 à 1939, sortent les dernières voitures de la marque « Lorraine », avec la 20 CV, les commandes militaires de camions, de chenillettes Lorraine 37L, de véhicules tout terrain prévus pour transporter l'infanterie des nouvelles divisions mécanisées Lorraine 38L, occupèrent l'entreprise jusqu'en 1939.
En 1941, la societe Lorraine-Dietrich est reprise par l'entreprise Gnome et Rhône.
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